Dans chaque dossier de famille, il y a bien plus qu’un conflit juridique
Il y a un parent qui ne dort plus, un enfant pris au milieu, des loyautés déchirées, des chagrins qu’on cache derrière des pièces et des conclusions.
Au cabinet, on parle de résidence, de pension, de partage de biens…
Mais dans le bureau, ce qui arrive en premier, ce sont souvent les larmes, la peur, la culpabilité, la honte parfois.
Je suis avocate, pas psychologue.
Mon travail, c’est le droit : défendre, négocier, construire une stratégie.
Mais je sais que, pour tenir dans la durée, beaucoup de clients ont aussi besoin d’un espace pour déposer ce qu’ils portent à l’intérieur.
C’est pour ça que je m’entoure de professionnels de la santé mentale :
des psychologues, des psychiatres, parfois des thérapeutes de couple ou de famille, qui travaillent à nos côtés et vers qui je peux orienter quand je sens que le dossier “déborde” sur le plan émotionnel.
On ne fait pas de thérapie au cabinet, et on ne prétend surtout pas remplacer ces métiers-là.
En revanche, on sait que comprendre ce que vous traversez, c’est déjà mieux vous défendre.
Au #CabinetAboutAvocats, on mesure la réussite d’un dossier autrement que par un simple “gagné / perdu” :
c’est aussi de voir un client qui relève la tête, qui se remet à faire des projets, qui retrouve un peu de calme.
Si vous êtes psy, psychiatre, thérapeute ou coach, et que cette manière de travailler main dans la main avec les professionnels du soin vous parle, la porte de nos MP est ouverte. 🤝🧡



