Se battre pour les absents… et ceux qu’on croyait déjà oubliés 🔹
Elle était sous tutelle. Fragile. Isolée.
Elle avait été hospitalisée, suivie, mise à l’abri.
Et pourtant… on l’a dépouillée. Un chèque après l’autre…
Aujourd’hui, elle est décédée.
Mais le combat continue.
👉 Parce qu’en droit français, l’héritière peut encore agir.
👉 Parce qu’un abus de faiblesse ne meurt pas avec la personne qu’il a broyée.
👉 Parce que la mémoire, la dignité, et la justice ne se liquident pas dans un acte de décès.
🖊️ Nous déposons plainte.
Pour elle. Pour sa fille. Pour que ce que la maladie avait fragilisé, la loi vienne le restaurer.
Et c’est pour ça que j’aime le droit.
C’est pour ça que j’aime mon métier.
❤️🔥 Je vibre quand je défends une héritière. Mais encore plus quand je défends celle qu’elle a perdue.
Oui, je sais, certains me trouvent trop sensible, trop impliquée, trop « trop »…
Et alors ?
🎓 Ça fait 28 ans que je fais ce métier ainsi, à fond, les yeux ouverts, le cœur aussi.
Et ce n’est pas près de s’arrêter.
🕊️ Parce que parfois, défendre, c’est honorer.



